Michel Jonasz & Jean-YvEs d'Angelo Piano - Voix + Enzo Carniel Amphithéâtre Musique M
Musique

Michel Jonasz & Jean-Yves d’Angelo « Piano — Voix »

Enzo Carniel « House of Echo »

Michel Jonasz et Jean-Yves D’Angelo sont inséparables. Après le succès de plus de 300 concerts en piano-voix, le chanteur et son génial pianiste continuent la route.

Information importante : Votre placement en salle reste le même que sur la soirée initiale du vendredi 13 septembre 2024. Si vous n’êtes pas disponible sur cette nouvelle date, nous vous invitons à contacter la billetterie au 09 800 840 40.

 

Michel Jonasz & Jean-Yves d’Angelo « Piano — Voix
Michel Jonasz
Lieu
  • Châteauvallon
  • Amphithéâtre
Accessibilité
  • Spectateurs aveugles et malvoyants
  • Pour toutes et tous
  • Dates Durée 45 min + 1h30
  • jeudi 12 juin 2025 20:30
Tarif Amphithéâtre
  • Plein tarif 35 €
  • Tarif adulte avec la carte Châteauvallon-Liberté 25 €
  • Tarif partenaire (CSE et Associations culturelles partenaires) 25 €
  • Tarif - 30 ans 15 €
  • Tarif - 18 ans 10 €
  • Tarif solidaire 5 €

Avec la Carte Châteauvallon-Liberté, votre 6ème place de spectacle est offerte !

Informations pratiques

Michel Jonasz clôture la saison dans l’Amphithéâtre de Châteauvallon en reprenant les plus grands standards de son répertoire, de Joueurs de blues à Lucille en passant par La boîte de Jazz. Autant de mélodies où se rencontrent swing, blues et rock’n’roll. Le duo joue également des pépites rares ainsi que des tubes incontournables que nous fredonnons avec toujours autant de plaisir.

Retrouvez en ouverture de soirée le pianiste Enzo Carniel qui revient avec son projet House of Echo ainsi qu’un tout nouveau répertoire.

Michel Jonasz & Jean-Yves d’angelo
Avec Michel Jonasz (piano) et Jean-Yves d’Angelo (voix)
Direction de production Johan Silvent
Régie plateau Alain Girard 
Son Jim Poitevin 
Lumières Jimmy Thavot
Production ART FM

Enzo Carniel 
Avec Enzo Carniel (piano), Marc-Antoine Perrio (guitare), Simon Tailleu (contrebasse) et Ariel Tessier (batterie)

Photos de couverture et 1 © Stéphanie Vivier, 2 © Sylvain Gripoix et Hadrien Houdart
Texte © Vanessa Asse

Les tubes succèdent aux succès… Sa voix, sa musique, ses textes et ses apartés conquièrent le public… et la salle se retrouve immanquablement debout pour acclamer ce duo qui fonctionne à merveille. Du bonheur à foison… Le Parisien

L’émotion est intacte… seulement portée par le texte, la voix et le piano dans ce spectacle où la gorge se serre quand le rire s’efface, entre swing, blues et… rock’n’roll ! (…) standing ovation en guise d’au revoir qui fait de ce concert l’un des plus beaux moments musicaux de l’année. L’éveil de la Haute Loire

Chacun a quitté la salle le sourire aux lèvres… Jonasz pouvait être jadis considéré comme le plus grand showman français. Et s’il l’était toujours ? Nos Enchanteurs

Michel Jonasz

Michel Alain Jonasz, fils d’Oscar et Charlotte, d’origine hongroise est né en 1947. Accroché aux jupes de sa mère, le petit Michel grandit à Drancy – ville qui l’a vu naître – une dizaine d’étés et d’automnes. Puis c’est le départ pour Paris et la Porte Brancion. La famille s’installe au dixième étage d’une H.L.M, non loin de la voie ferrée et des abattoirs de la rue de Vaugirard. Michel est alors éloigné de ses grands-parents paternels auxquels il est très attaché. Mais toute la famille se retrouve à Drancy chaque semaine pour le traditionnel repas du dimanche. Ensemble après manger, on sort le tourne-disque et on écoute de la musique tzigane hongroise, une musique qui aura une influence déterminante au cours de la carrière de Michel.

Son parcours scolaire, lui, est en demi-teinte jusqu’à la fin des années Collège. Le lycée devient plus problématique. Michel sait que son avenir ne se trouve pas sur ses bancs et annonce à sa mère, au milieu de son année de seconde, qu’il n’y retournera plus. Il cherche son chemin, tâtonne, s’essaie à la peinture, prend des cours de dessin  puis, entraîné par sa sœur, entre au cours d’art dramatique de Guy Kayat, à la M.J.C. de la Porte de Vanves. Il y fait la connaissance d’Albert Drey – son pote Bébert, dont il parlera en 1978 dans la chanson La Porte de Vanves. Michel monte pour la première fois sur les planches pour tenir le rôle modeste d’un soldat « qui meurt à la fin » dans une pièce de Romain Rolland : Le temps viendra. La mise en scène est de Guy Kayat et les têtes d’affiche sont Gérard Desarthe et Nadine Alari. Parallèlement, il commence à s’exercer seul chez lui sur le piano familial …

Début des années 1960 : c’est l’âge d’or du rock’n’roll. Des groupes se créent chaque semaine et se produisent au Golf-Drouot d’Henri Leproux (Les Chaussettes Noires et Eddy Mitchell, Les Chats Sauvages et Dick Rivers…) Sur la demande de Michel, au grand dam de son père, sa mère Charlotte lui achète un piano électrique (avec les allocations familiales), et Michel se fait alors engager comme pianiste dans le groupe Kenty et les Skylarks. Il rejoint ensuite Vigon et les Lemons avec son copain d’enfance Alain Goldstein à la guitare. Vigon, un chanteur d’origine marocaine, lui laisse même tenter sa chance en lever de rideau et Michel reprend Hoochie Coochie Man, de Muddy Waters. Quelque temps plus tard, Michel crée – toujours en compagnie d’Alain Goldstein – Le King Set. Michel, pour la première fois chanteur « officiel » d’un groupe, commence par chanter du rock’n’roll et du rhythm’n’blues en anglais : James Brown, Otis Redding, Wilson Pickett, Sam&Dave … Un soir, emporté par son interprétation paroxystique de I feel good, il tombe dans les pommes.

En 1967, le père d’Alain leur fait rencontrer Lucien Morisse, grand manitou de la musique chez Europe n°1 et directeur de la maison de disques AZ, qui leur permet d’enregistrer un 45-tours. Ils écrivent des chansons en français et le titre Apesanteur (sur un texte de Claire-Lise Charbonnier) est un succès radio. Mais le groupe se dissout et Michel poursuit un temps l’aventure seul, sous le nom de Michel King Set, sans grand écho auprès du public.

Entre 1969 et 1973 paraissent enfin sous son vrai nom plusieurs 45-Tours dont le titre La Rencontre, sous le label AZ. Des versions italiennes des chansons seront même enregistrées…

Michel part 3 mois de tournée dans toute la France sur le podium d’Europe n°1 avec Hugues Auffray. Le 12 décembre 1973, c’est le  premier Olympia : Michel passe en lever de rideau de Stone et Charden qu’il accompagne en première partie sur leur tournée.

Les années suivantes, Michel et Alain Goldstein écrivent ensemble plusieurs chansons. Parmi elles, Rien n’est plus beau, pour Gérard Lenorman. Sa carrière de chanteur tourne au ralenti mais Michel ne se décourage pas et il finit par obtenir un premier contrat d’importance avec une grande maison de disques – WEA – chez qui il restera pendant plus de vingt ans. Un 33-Tours sort en 1974, marqué par la présence de deux chansons qui deviendront des tubes : Dites-moi, co-écrite avec Frank Thomas et Super Nana de Jean-Claude Vannier. Cet album est essentiellement écrit et composé par Frank Thomas et Alain Goldstein. Une seule musique est signée Jonasz : celle de Dites-moi, un seul texte : Fanfan.

Un an plus tard, sort l’album Changez tout, où Michel fait encore appel à des paroliers, mais dont il compose la majeure partie des musiques. On y entend notamment Les Vacances au bord de la mer qui égrène ses souvenirs d’enfance. Michel enchaîne les premières parties : Eddy Mitchell, puis en 1976,  Mireille Matthieu et Véronique Sanson. La chanson Je voulais te dire que je t’attends sort en 45-Tours.

C’est, en 1977, avec l’album intitulé 3ème que Michel se sent prêt pour l’écriture de ses textes, après l’autobiographique Fanfan du premier disque. L’album Du blues, du blues, du blues avec le titre J’veux pas qu’tu t’en ailles atteste de la réussite de ce pari fait sur lui-même : s’en croire capable et trouver son chemin au travers de ses propres mots. Et la consécration passe par le Théâtre de La Ville.

C’est durant cette décennie 70 que Michel rencontre Gabriel Yared, avec lequel il va travailler assidûment, non seulement sur leurs albums respectifs (Michel écrit les textes de l’album de Gabriel) mais aussi pour d’autres qu’eux. Françoise Hardy récolte les fruits de cette collaboration avec, entre autres, le fameux J’écoute de la musique saoûle. C’est une période féconde et les disques de Michel s’enchaînent à un rythme soutenu. Guigui et En public au Théâtre de la Ville sortent tous deux en 1978. La même année, le chanteur apprend le rôle de père avec la naissance de son fils Florian.

En 1979, jouer la comédie est devenu un désir grandissant, après une brève apparition dans le film Rien ne va plus de Jean-Michel Ribes et un rôle dans la pièce de Didier Kaminka : Toutes les mêmes sauf Maman. Mais 1979 est aussi l’année de son premier Olympia en tête d’affiche, pour une soirée, le 21 mai.

Michel obtient la reconnaissance du métier au travers du Grand Prix de l’Académie Charles Cros avec le disque Les années 80 commencent. Il compose ensuite la B.O du film Clara et les chics types de Jacques Monnier, dans lequel on trouve une Clara, fan de Michel Jonasz, interprétée par Isabelle Adjani.

En 1981, La nouvelle vie lui vaut une notoriété grandissante. Joueurs de Blues et Les Fourmis rouges lui offrent son premier disque d’or et son troisième Olympia, cette fois-ci pour quinze jours. En 1982, un 45-tours passe en boucle sur toutes les radios : Lord Have Mercy.

Aux côtés de Francis Huster, Nicole Garcia et Charles Aznavour, Michel tourne Qu’est-ce qui fait courir David ? d’Elie Chouraqui. Son interprétation lui vaut d’être nommé aux Césars 1983 comme meilleur second rôle masculin. Cette même année, Michel devient son propre producteur musical avec l’album Tristesse. Il retrouve l’Olympia, sa salle de prédilection, pour deux semaines.

En 1984, Michel compose le générique cinéma de la toute nouvelle chaîne de télévision, Canal + et joue aux côtés de Jean Carmet dans Tir à vue de Marc Angelo. Une petite fille, Hannah, vient agrandir la famille.

En 1985, c’est la consécration avec le disque Unis vers l’uni et le succès de La Boîte de Jazz. Le Palais des Sports où il se produit pendant trois semaines joue à guichets fermés. Un double disque en concert au Palais des Sports et une tournée suivent. Une vidéo immortalise ces moments. Muriel Huster lui consacre un album de photos aux Editions du Pont-Neuf et Brigitte Kernel une monographie dans la collection Poètes d’aujourd’hui chez Seghers. Lors des premières Victoires de la Musique, Michel remporte les trophées du meilleur artiste masculin de l’année, de la meilleure chanson et de la meilleure réalisation d’album aux côtés de Manu katché, Jean-Yves D’Angelo et Kamil Rustam, avec lesquels il travaille depuis le début des 80′. L’album est disque de platine avec plus de 500 000 exemplaires vendus. Jacques Chancel reçoit l’artiste pour « son » Grand Echiquier. L’année suivante, Michel tourne Le testament du poète juif assassiné de Frank Cassenti, d’après l’œuvre d’Elie Wiesel. On y aperçoit sa fille Hannah, qui y tient le rôle du fils de Paltiel Kossover.

Entre 1987 et 1989, Michel s’attelle à un projet original avec la création de La fabuleuse histoire de Mister Swing, une comédie musicale à un personnage. Entouré de musiciens américains, il prend le risque de présenter au public des chansons inédites après avoir laissé planer un mystère savamment entretenu. Le spectacle reste à l’affiche à Paris pendant plus de 3 mois (à La Cigale et au Casino de Paris) puis part en province et à l’étranger. Deux albums live sortent, enregistrés au début et à la fin de cette tournée et une Victoire de la Musique récompense cette Fabuleuse histoire du titre de meilleur spectacle de l’année. Cette aventure est retracée dans le film Mister Swing de Philippe Ros, produit par Michel lui-même. Cet immense succès emmène toute l’équipe jusqu’en Afrique : la réputation de Michel a traversé les mers et il sera le seul artiste français au concert donné à Bercy au profit d’Amnesty International aux côtés de Peter Gabriel, Sting, Tracy Chapman et Bruce Springsteen.

En 1990, Michel signe la musique du film Miss Missouri, d’Elie Chouraqui. Michel s’accorde une pause et s’en va courir le monde. Il revient deux ans plus tard avec l’album Où est la source, enregistré à Los Angeles avec, de nouveaux musiciens américains (et non des moindres : Steve Gadd, Abraham Laboriel, Luis Conte), sous la direction du frenchie Jean-Yves D’Angelo aux claviers.  Ensemble ils font salle comble au Zénith de Paris pendant trois semaines et lors d’une tournée qui va durer un an.

En 1993, Michel soutient l’association Sol en Si qui s’occupe des enfants dont les parents sont victimes du Sida. Il entraîne dans son sillage ses copains Souchon, Cabrel, Le Forestier, Maurane et Catherine Lara pour un concert, puis un album, au profit de l’association.

Une page se tourne en 1996 avec l’album Soul Music Airlines : Michel quitte Warner, la maison de disques de ses débuts, pour EMI. Une série de concerts a lieu au Casino de Paris et toute la troupe part en tournée. En 1997, Michel remporte le Sept d’or de la meilleure musique de télévision pour le générique de l’émission Zone interdite. Puis, lors d’une nouveau spectacle pour Sol en Si, Zazie rejoint la fine équipe.

En 1999, Michel tient un rôle dans le premier long-métrage intitulé Babel, de Gérard Pullicino, à qui l’on doit, entre autres, la captation vidéo du spectacle Où est la source au Zénith et les émissions musicales Taratata dont Michel est régulièrement l’invité. Il tourne également dans Lisa, de Pierre Grimblat, adapté d’un roman de Patrick Cauvin.

Mi machines, mi instruments « à l’ancienne », Soul Music Airlines préfigurait l’album Pôle Ouest sorti en 2000, réalisé en home studio et mâtiné de boucles rythmiques et d’électronique. Dans cet album se trouvent Le Scat et Le boléro, en hommage au film de Wim Wenders Buena Vista Social Club. Une tournée conduit Michel jusqu’aux Antilles et sur l’île de la Réunion.

En 2002, La vie dehors de Jean-Pierre Vergne offre à Michel un premier rôle de télévision aux côtés d’Estelle Vincent. À la fin de l’année sort Où vont les rêves, un album enregistré en 7 jours l’été précédent, avec trois musiciens : le pianiste Lionel Fortin, le bassiste Etienne Mbappé avec lequel il a déjà fait trois albums, mais surtout, dix ans plus tard, Michel retrouve le batteur Steve Gadd. Une tournée d’un an et demi emmène le chanteur jusqu’à Tahiti, Nouméa, La Réunion, l’île Maurice, en métropole et dans toute l’Europe. Cette même année voit la création des Editions Michel Jonasz. Rajoutant une corde à son arc, Michel devient éditeur de livres consacrés au développement personnel et à la spiritualité, des thèmes qu’il a souvent évoqués, tant dans ses chansons qu’en interviews.

Des tournages en rafales marquent 2004 : pour le cinéma La Maison de Nina de Richard Dembo, pour la télévision Un amour à taire de Christian Faure primé au Festival de Luchon, Dalida de Joyce Buñuel, Le triporteur de Belleville de Stéphane Kurc et Un coin d’azur d’Heiki Arekallio.

En 2005, MJM, la société de production de Michel devient label – véritable déclaration d’indépendance – et sort son 14e album studio, distribué par Warner, la maison de disques de ses débuts. On peut y entendre notamment La femme du parfumeur ou Celui qui t’aimait c’était moi, dans la lignée de la chanson J’veux pas qu’tu t’en ailles. Plus de 100 concerts en France et à l’étranger ponctuent ce passage symbolique, dont quinze dates au Casino de Paris et un soir à l’Olympia.

Michel reprend sa casquette d’acteur en 2006 dans le téléfilm Le sang noir de Peter Kassovitz et le film Les hauts murs où il retrouve le réalisateur Christian Faure.

En février 2007, sort l’album Chanson Française. Michel y reprend Ferré, Brel, Brassens, Montand, Piaf… et rend hommage à ses premières amours. Ce disque est le volet initial d’un triptyque qui mettra à l’honneur ses autres sources d’inspirations que sont la musique tzigane et le blues. Michel reprend la route avec ses musiciens pendant plus d’un an de tournée.

En 2008, il tourne entre deux concerts La première étoile de Lucien Jean-Baptiste et prépare pour la rentrée la tournée Michel Jonasz Trio où il chantera son répertoire réarrangé avec deux musiciens.
Sortie DVD de Mister Swing, le vingtième anniversaire.

En septembre 2009, création de la pièce de théâtre Abraham, que Michel a écrite et composée et qu’il met également en scène. Quarante représentations sont initialement prévues. C’est aussi la parution du livre-disque Abraham contenant le texte et les chansons de la pièce.

En novembre 2009,  premières prolongations (cinquante représentations supplémentaires, toujours au Petit Montparnasse) jusqu’à fin décembre. C’est aussi la sortie du live Michel Jonasz Trio, enregistré au Casino de Paris.

En janvier 2010, deuxième série de prolongations d’Abraham, au théâtre de la Gaîté Montparnasse. Poursuite de la tournée Michel Jonasz Trio jusqu’à l’été. Puis en octobre, Abraham part en tournée et le spectacle Michel Jonasz Trio entame sa troisième et dernière partie. Le 28 février 2011 sortie de l’album Les hommes sont toujours des enfants. Lancement de la nouvelle tournée au Casino de Paris en mars 2011. En octobre, reprise d’Abraham à Paris au Théâtre des Mathurins.

En février 2012, reprise d’Abraham pour la quatrième fois à Paris, à nouveau au théâtre du Petit Montparnasse. Fin de la tournée d’Abraham le 4 octobre 2013 à Bray-Dunes, après 4 ans de représentations.

Le 25 novembre 2013, sortie simultanée du DVD de la tournée Les hommes sont toujours des enfants sur scène et du Best Of 3 CD’s Joueur de blues, le meilleur de Michel Jonasz.

Du 7 octobre au 28 décembre 2014, Michel interprète La vie est une tarte aux pommes, pièce de théâtre à nouveau écrite et mise en scène par lui, au Théâtre du Petit Montparnasse.

De 2015 à 2017, les concerts se succèdent à un rythme soutenu car c’est durant la tournée PIANO|VOIX qu’est né le projet du Michel Jonasz Quartet : 30 ans après la tournée Unis vers l’Uni, Michel Jonasz, Manu Katché et Jean-Yves d’Angelo se réunissent pour une série de concerts exceptionnels !

L’époque est aux supers groupes : la fine fleur de la scène musicale mondiale qui a roulé sa bosse, tous azimuts, joue pour son plaisir, telle une bande de copains qui se retrouvent et tapent le bœuf !

Les français ne sont pas en reste avec LA rencontre au sommet de l’été 2015, longtemps espérée par les fans de Michel Jonasz, Manu Katché et Jean-Yves d’Angelo. Ces trois-là étaient inséparables dans les années 80’ : trois albums à leur actif et quels albums ! Des chansons gravées dans la mémoire collective : Lucille, La FM qui s’est spécialisée funky, La boîte de Jazz, Unis vers l’Uni, La BossaMinuit sonneLord Have Mercy… Puis chacun a suivi sa route, multipliant les rencontres avec d’autres « pointures » ou s’engageant dans des projets personnels (sous leurs noms respectifs) … jusqu’à ces retrouvailles au goût de madeleine de Proust…

En 2018 sortent deux nouveaux Best-Of La boîte de Jazz et Du Blues du Blues du Blues pendant que le Michel Jonasz Quartet entame sa troisième saison.

Jean-Yves d'Angelo

Après avoir étudié le solfège et l’harmonie au Conservatoire National Supérieur de musique de Paris, le piano et la direction d’orchestre à l’Ecole Normale de musique de Paris, Jean-Yves D’Angelo accompagne en studio et sur scène les plus grands chanteurs français: Michel Jonasz, Eddy Mitchell, Jean-Jacques Goldman, Patrick Bruel, Julien Clerc, Florent Pagny, Liane Foly, Charles Aznavour, Maxime Le Forestier, Catherine Lara, Johnny Hallyday, Alain Souchon, Laurent Voulzy, Francis Cabrel, Zazie, Maurane, Alain Chamfort, Bill Deraime, Michel Delpech, Julie Zenatti, Natacha Saint-Pier, Amel Bent, Daniel Levi, Les 10 commandements, Les Restos du Cœur, Sol En Si, etc…

Parallèlement il enregistre sous son nom plusieurs albums instrumentaux dont 2 sont primés aux victoires de la musique. Il se consacre maintenant à la composition et à l’orchestration de musiques de films, et à la direction musicale de spectacles.

Enzo Carniel

Enzo Carniel est un pianiste Français né en 1987. Il commence l’étude du piano classique et découvre le jazz pendant l’adolescence.

Après 5 années de Médecine à la Faculté de Marseille , il décide alors de se consacrer entièrement à cette musique, il est médaillé en 2009 au CNR de Marseille.

Il rejoint alors le Conservatoire National Supérieur de Musique Paris dans la classe de Jazz et Musique improvisées. Il obtient en juin 2015 le premier prix du CNSMDP et un prix d’improvisation générative.

Ses recherches et toutes ses collaborations donnent naissance au quartet House of Echo ou se mêlent longues plages improvisées et compositions.

Influencé par Paul Bley, Thelonious Monk, Keith Jarrett, et les grands pianistes l’histoire du jazz, il tente d’explorer les palettes sonores et les possibilités intrinsèques du piano. Son approche est basée sur la naissance au moment présent d’idées musicales, dans le non jugement esthétique, un approche « brute » de l’improvisation utilisant toutes ses influences et sensations.

En 2014, il enregistre sont premier disque en piano solo appelé Erosions. Le premier septembre 2017 sort le second opus de son quartet House of Echo, Echoïdes sur le label Jazz&People. Le disque est acclamé par la presse et les médias. Enzo Carniel fait partie du dispositif JazzMigration#4, il est en tournée en Europe mais aussi en Amérique du Nord durant toute l’année 2019. Il est également titulaire du CA d’enseignement Jazz.

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