Tristan Choisel est auteur de théâtre. Son écriture a été repérée par des comités de lecture comme celui du Théâtre National de Strasbourg et de la Mousson d’été ou encore le Bureau des lecteurs de la Comédie-Française. Il anime par ailleurs un atelier d’écriture hebdomadaire à Solliès-Pont.

En partenariat avec Le PÔLE – La saison Gatti

S’il y a un universel indiscutable, c’est bien la mort. Des rituels funéraires aux liens avec les ancêtres en passant par la vie dans l’au-delà, nos façons d’appréhender la mort sont aussi diverses que les sociétés humaines. Autour de cette table ronde, artistes, écrivains, scientifiques s’empare de ce sujet tabou : Et si mort et vie étaient en partie compatibles ? Pourquoi et comment entre-t-on en relation avec les morts ?

Intervenants :
Blandine de Caunes écrivaine et autrice de La Mère morte
Juliette Cazes* thanatologue et autrice de Funèbre, créatrice et animatrice du site Le Bizarreum
Martin Julier-Costes docteur en sociologie de l’Université de Strasbourg
Patrice Thibaud acteur et metteur en scène

*Mise à jour du 17 novembre : pour des raisons de santé, Juliette Cazes nous informe qu’elle ne sera pas en mesure de participer à la table ronde.

Appréhender les liens qui unissent les vivants et les morts n’est pas une tâche aisée et renvoie à ce que les spécialistes nomment un invariant anthropologique. Nombreux sont les êtres humains, d’ici ou d’ailleurs, du passé comme du futur, qui cherchent à communiquer avec leurs morts et réciproquement. À travers une approche compréhensive et dynamique articulant sociologie et anthropologie, Martin Julier-Costes abordera comment, aujourd’hui, des individus communiquent avec le(ur)s morts et en quoi ces liens soutiennent les vivants dans leur processus de deuil et maintiennent les morts à leur place.

En partenariat avec la Librairie Charlemagne

Les Têtes d’Ail proposent au Restaurant — Bar un dîner thématique autour
des légumes anciens et éternels.

Plat à partir de 12€

La compagnie Rara Woulib s’inspire des rituels de sociétés traditionnelles et créé des œuvres comme des fêtes, où se croisent démesure, plaisir et faire ensemble. C’est une immersion onirique du spectateur, circulant entre sacré et profane, réel et fictionnel à travers le jazz créole et les chants spirituels de la Caraïbe.
Souvnans est né de la rencontre d’un quartet de musiciens traditionnels issu de la compagnie Rara Woulib (chants sacrés afro-caribéens, percussions, conques, vaksins…) et d’un quartet de jazz.