Le Jeune Noir à l'Épée
Théâtre musical

Le Jeune Noir à l’épée

[SUSPENDU]

Du tableau à la scène, Abd Al Malik fait tomber les barrières entre les arts dans un récit poétique à la gloire de l’homme rebelle. Tantôt rythmé, déclamé, slamé, rappé et dansé sur une musique noire, blanche, métisse.

Le Jeune Noir à l'Épée
Le Jeune Noir à l'Épée
Le Jeune Noir à l'Épée
Le Jeune Noir à l'Épée
Le Jeune Noir à l'Épée
Lieu
  • Le Liberté
  • Salle Albert Camus
  • Dates Durée 1h15
  • samedi 5 décembre 2020 20:30
Tarif A
  • Plein tarif 29 €
  • Tarif préférentiel 21 €
  • Tarif avec la Carte Encore 21 €
  • Tarif formule 3 spectacles et + 20 €
  • Tarif formule 10 spectacles et + 18 €
  • Tarif demandeur d'emploi 16 €
  • Tarif jeune (- de 30 ans et étudiants) 11 €
  • Tarif solidaire 5 €
Informations pratiques

Avec toujours la même ferveur et la même ardeur qui lui collent aux semelles, Abd Al Malik fait sien Le Jeune Noir à l’épée de Puvis de Chavannes et imagine un long poème sur l’identité à l’ère de la mondialisation. Une histoire contemporaine, entrecoupée, fractionnée, vibrante, comme la vie de milliers d’anonymes des cités HLM qui rêvent de renouveau et d’harmonie. Sur scène, chorégraphiés par l’un des maitres de la danse contemporaine africaine, le Burkinabé Salia Sanou, quatre danseurs entrent en résonance avec le verbe haut de l’écrivain, poète et slameur français. Là où la voix surgit, déclame, vitupère, alpague, enjolive, enchante, le mouvement se tend ou se détend, s’arrondit ou se cabre, s’élance ou s’interrompt brutalement dans un flux et reflux permanent. Le tableau s’anime en corps, en sons et en mouvements dans un spectacle polyphonique. : entre ombres et lumières, silence et clameur.

Conception, mise en scène et chant Abd Al Malik
Chorégraphie Salia Sanou
Danseurs Salomon Asaro, Akeem Alias Washko, Vincent Keys Lafif et Bolewa Sabourin (sous réserve)
Musiciens Arnaud Fayette Mikano et Fayette Fayette Mikano
Vidéo Fabien Coste

Production Décibels Productions
Coproduction Le Théâtre de la Ville, Paris
En partenariat avec le Musée d’Orsay

Photos © Fabien Coste
Texte © Marie Godfrin-Guidicelli